D’abord il y a eu les dinosaures, et puis paf on est là …
On était pas mal pris ces derniers temps, retour en images sur les dernières actions !!!
Nous sommes allés à la COMTE pour de la cuisson primitive on retrouve les photos ICI, sur le site de inSOlo, c’est lui qui était à la manœuvre !!!
Ensuite c’était land’art dans le cadre du programme d’animations de la Communauté de Communes du Pays de Lumbres, avec Noémie de l’Office de Tourisme du Pays de Lumbres (ICI), retour en images sur la commune de Wavrans sur l’Aa …
Un petit tour chez nos chouchous (humour) à Dohem, à l’école plus exactement, dans le cadre du programme Éducation Nationale « vacances apprenantes », cette fois ci, c’était monotype …
Il s’agit de peindre à l’encre typographique ou à la peinture à l’huile, ou à la gouache, sur un support non poreux comme du verre, du métal ou du plexiglas.
La peinture est ensuite passée sous presse avec un papier qui reçoit l’épreuve, on peut également enduire la totalité du support et appliquer la feuille de papier par-dessus. En exerçant une pression à certains endroits avec une pointe ou les doigts, on obtient différentes valeurs de noir et on peut ainsi réaliser un dessin plus précis, et donc différent de la méthode précédente.
Le support n’étant pas gravé, il peut resservir pour d’autres monotypes après nettoyage. Le monotype n’est pas une « gravure » au sens strict, mais une estampe (œuvre obtenue après un pressage manuel ou mécanique). Par abus de langage, le terme « gravure » est devenu un terme générique pour ce type d’œuvres, quelle que soit la technique utilisée.
Le monotype ne peut être numéroté car, comme son nom l’indique, son tirage est unique. Il arrive cependant que l’artiste tire une seconde épreuve, plus faible, avec le résidu d’encre demeurant sur la matrice. Il est également possible d’obtenir une contre-épreuve en pressant le tirage encore humide contre une feuille vierge.
Et voilà, prochains ateliers c’est par ici +d’infos